Artiste belgo-bolivienne, Imaina dévoile SHE, son deuxième EP, qui célèbre l'amour de soi après un parcours musical débuté à The Voice Belgique. Avec des influences indie-pop et latin-pop, ses morceaux racontent sa vie et ses expériences avec sensualité et mélancolie lumineuse.
Alors, Imaina, c’est une artiste latina bruxelloise qui vient de sortir son deuxième EP, SHE. Ce projet de six morceaux indie-pop et latin-pop, chanté en anglais et en espagnol, est vraiment un voyage vers la guérison. Son premier EP, Wounds, était plus sombre, il parlait de la solitude, des dépendances, et de la violence. Mais avec SHE, elle prend un virage lumineux, c’est plus positif, plus axé sur le self-love. Elle y raconte ses expériences amoureuses, ses échecs, et sa vie en tant que jeune femme latina en Belgique.
Le single principal, Estoy Mejor (qui veut dire "Je vais mieux" en espagnol), est super catchy et accompagné d’un clip qui montre des moments joyeux de sa vie. C’est elle-même qui a écrit et composé tous les morceaux, avec l’aide de son frère Coy Lurker pour la production. Son style est vraiment unique sur la scène musicale belge, entre sensualité et mélancolie lumineuse.
Imaina a grandi entre la Bolivie et la Belgique, suivant ses parents un peu partout dans le monde. Elle a commencé à écrire ses propres morceaux dès l’âge de 13 ans. En arrivant à Bruxelles à 18 ans, elle chantait dans les bars et les rues, et postait des reprises sur YouTube. Elle a ensuite participé à The Voice Belgique en 2019, ce qui lui a permis de se faire connaître et de lancer sa carrière.
Depuis, elle a sorti son premier single I’m Yours en 2019, qui a même été utilisé dans une campagne de mode pour Vogue Russie, et elle a écrit pour l’album Travel de Stéréoclip. Son premier EP Wounds a eu un bel accueil, que ce soit en Belgique ou en Bolivie, avec des passages à la télé, à la radio, et des concerts dans plusieurs salles bruxelloises comme le Beursschouwburg et Recyclart.
Imaina est très ouverte et n’hésite pas à partager ses expériences personnelles. Elle a même parlé dans Le Vif de la fétichisation des femmes racisées en Belgique, un sujet qu’elle aborde dans son titre Glass Box. Et maintenant, avec SHE, elle continue de tracer son chemin, et franchement, ça vaut le détour !
Chaque jour, Fred Maltesse présente des artistes belges qui font briller nos couleurs à l'international.
